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Bullletin de nouvelles - semaine du 25 au 29 novembre 2019

Université de Montréal

Département d’anthropologie

 

Bulletin de nouvelles du 25 au 29 novembre 2019

 

Conférence de Sarah Turner :

Sarah Turner, Assistant Professor, Department of Geography, Planning and Environment, Concordia University, donnera la conférence intitulée « Behavioral Flexibility and Monkeys with Physical Impairments : Stories from Awajishima Monkey Center » le jeudi 5 décembre 2019 à 11h30 en salle C-3019 du pavillon Lionel-Groulx.

Abstract : What does it mean for an animal to have a physical disability? As human-induced environmental change increasingly impacts species and ecosystems in every part of the world, understanding behavioural flexibility and how animals cope with challenges can point to the selection pressures animals face and help us develop conservation strategies. Physical disabilities can drive wild and free-ranging animals to adjust their behaviours in order to solve daily challenges associated with survival, social living and reproduction. A group of Japanese macaques (Macaca fuscata) on Awaji Island, Japan, provides a unique opportunity to examine behavioural flexibility and disability-associated behaviours in a free-ranging nonhuman primate species. Since 1967, about 16% of infants have been born with physical disabilities in the form malformations of the limbs and digits. In this seminar, I will tell the story of the Awajishima monkeys and illustrate it by presenting some data on two detailed examples of Japanese macaque behavioural flexibility - grooming and feeding styles.

 

Rappel : Conférence de Jorge Frozzini :

Le jeudi 28 novembre à 11h30, Jorge Frozzini donnera une conférence intitulée « Quand le milieu s’organise pour les (im)migrants : volonté, intérêts et structures ». La conférence aura lieu au département d'anthropologie, salle C-3019, Pavillon Lionel-Groulx. ​

Résumé: À travers le temps, plusieurs exemples d’organisation populaire et gouvernementale ont eu lieu afin d’accueillir des (im)migrants au Canada. La représentation sociale que la majorité au Québec a de ces efforts est celle de l’expression de l’humanisme de ces individus (bonne volonté et charité) et des institutions (provincial, fédéral, municipal et organismes communautaires). Toutefois, cette représentation réduit la complexité de tâches nécessaires pour l’accomplissement des objectifs. Nous savons que plusieurs types d’intérêts (économiques, démographiques, etc.) et finalités (politiques, économiques, etc.) s’entremêlent lorsqu’il y a ce type d’initiatives. À l’aide du cas de la Ville de Saguenay, cette communication illustre la complexité du processus d’organisation quand la volonté d’aider est présente, mais influencée par des intérêts particuliers, des structures contraignantes (dont les programmes d’immigration) et une réalité spécifique selon le statut, le vécu des personnes et le contexte où ces initiatives s’inscrivent.

 

Conférence GIERSA :

La conférence « Les représentations médiatiques des attentats terroristes en Afrique subsaharienne » présentée par Sokhna Fatou SECK-SARR de l’Université Gaston Berger le vendredi 6 décembre 2019 à 11h au local C-1017-11 du pavillon Lionel-Groulx.

Résumé : Les attentats terroristes font l’objet d’une surmédiatisation. Du Wall Street Center au Grand Bassam, les médias ont contribué à la résonance transnationale de ces attaques. Plusieurs travaux ont confirmé le lien symbiotique entre le spectacle terroriste et le spectacle audiovisuel. Notre recherche soutient que le traitement médiatique du fait terroriste est une mise en scène avec trois figures actancielles : les auteurs présumés de l’attentat, l’État et l’opinion publique. Le discours médiatique est arrimé aux quatre phases constructives du discours narratif (Greimas) : la manipulation, la compétence, la performance et la sanction. Le corpus concerne les attentats perpétrés à Ouagadougou (2016), au Grand Bassam (2017) et la fausse alerte de Dakar (2015). Il est composé de vidéos diffusés par les chaînes de télévisions publiques : la Radio Télévision du Sénégal(RTS), la Radio Télévision Ivoirienne (RTI), la Radio Télévision du Burkina(RTB) et la télévision transnationale France 24. L’objectif final consiste à appréhender dans une perspective critique la façon dont le phénomène terroriste est médiatisé.

 

Exposition Les nouveaux états d’être

Venez découvrir l’exposition en cours au Centre d'exposition de l'Université de Montréal
Les nouveaux états d’être.

Premier volet du projet interdisciplinaire AIship, elle est le résultat de la collaboration de cinq duos d’artistes et de bioéthiciens.n.e.s et vise à ouvrir un dialogue public autour des dimensions éthiques, affectives et relationnelles suscitées par le développement et l’application de l’intelligence artificielle en santé.

L’exposition a lieu jusqu’au 14 décembre 2019.

 

Séminaire de maîtrise en géographie GEO 6291 :

Julien Simard enseignera le séminaire de maîtrise en géographie intitulé Mondes urbains et transnationalismes à la session d’hiver 2020 et se donnera au campus MIL.

Le séminaire est destiné aux étudiants intéressés par l’urbain, la financiarisation de l’immobilier, les théories critiques de l’espace, la gentrification, etc.

Pour plus d’informations : https://admission.umontreal.ca/cours-et-horaires/cours/geo-6291/

 

Poste de professeur.e adjoint.e :

Le Département d’anthropologie de l’Université Laval (Ville de Québec, Canada) est à la recherche d’un.e spécialiste en études autochtones pour occuper un poste de professeur.e de carrière en anthropologie.

La date limite de réception des candidatures est le 20 décembre 2019 et la date d'entrée en fonction, le 1er mai 2020.

Pour la description complète du poste, consulter Université Laval

 

Appel à communication : colloque de l’ACSHA :

L’association des étudiant.e.s aux cycles supérieurs en histoire de l’art (ACSHA) organise pour la troisième année consécutive un colloque interuniversitaire, transhistorique et interdisciplinaire ouvert aux chercheur.e.s et artistes des cycles supérieurs. Cette édition se tiendra à l’UQAM le vendredi 8 mai 2020 et réunira des intervenant.e.s d’horizons divers afin de mener une réflexion commune autour de la mémoire et de l’oubli.

La mémoire et son pendant, l’oubli, soulèvent une somme de questions fondamentales et actuelles, et ce, tant dans les champs historiques et esthétiques, que sociaux et politiques. Les histoires et traditions dont nous héritons et que nous transmettons forment nos cultures, et donc les manières dont nous habitons et percevons le monde. Le contenu, le point de vue et l’organisation de nos récits, mais aussi leurs manques et apories déterminent notre compréhension du passé, mais également la façon dont nous appréhendons le présent et envisageons l’avenir. Aussi, qu’elle soit personnelle ou collective, la mémoire a toujours partie liée avec la définition de l’identité et, de plus en plus, les individus et communautés historiquement marginalisées tendent à prendre la parole, sollicitant documents, traces et témoignages afin de réviser le récit historique dominant. La pratique, la théorie et l’histoire de l’art sont des domaines à la fois privilégiés de reprises, de revendications et de réparations, mais, aussi, symptomatiques d’omissions et d’impositions mémorielles. Et si la création et la recherche sont redevables de la mémoire, elles agissent à leur tour sur cette dernière, en contribuant à la former et à l’orienter. L’objectif de ce colloque est donc d’offrir un espace de réflexion sur les relations multiples que les pratiques scientifiques et artistiques entretiennent avec la mémoire. Comment les artistes, auteur.e.s, historien.ne.s, théoricien.ne.s et commissaires appréhendent-ils ces enjeux? Comment les travaux, œuvres et documents viennent-ils appuyer ou remettre en question nos conceptions?

Les sujets incluent, mais ne sont pas limités, aux thèmes suivants :

  • Les enjeux sociopolitiques: politiques mémorielles; construction d’une mémoire collective; lieux de mémoire; commémorations; statut du témoin; refoulements; omissions; réappropriations; révisions...
  • Les écritures et réécritures de l’Histoire (de l’art): le récit dominant, le canon versus les oublié.e.s, marginalisé.e.s...
  • L’œuvre comme travail de (la) mémoire: comme document, trace, support de témoignage; objet de transmission (ou d’invention) d’un héritage ou d’une tradition; la table rase versus la citation, le reenactment, l’hommage...
  • Les collections, archives, bibliothèques et autres lieux de conservation: espaces de préservation et d’organisation de la mémoire; enjeux matériels et politiques, notamment à l’heure du numérique...
  • La complication des temporalités: coexistence de temps multiples dans la mémoire versus écriture linéaire de l’Histoire; archaïsmes; résurgences; apparitions; traces; retours...

L’ACSHA invite les étudiant.e.s aux cycles supérieurs dont les recherches théoriques ou esthétiques abordent ces thématiques, à soumettre une proposition de communication d’une durée de 20 minutes. Les soumissions devront contenir un titre provisoire, un résumé de 500 mots et une brève notice biographique. Elles sont à faire parvenir au plus tard le vendredi 7 février 2020, en un seul document Word, à l’adresse suivante : colloque.acsha20@gmail.com

Renseignements : colloque.acsha20@gmail.com

 

Appel à communication : Colloque international « jeune-chercheur » d’histoire de la guerre de Montréal :

Le théâtre de la guerre a longtemps été perçu comme le domaine réservé des hommes. Les femmes sont pourtant loin d’en être absentes qu’elles la subissent ou bien qu’elles en soient les actrices. Central dans toutes les sociétés, le fait militaire et l’expérience de la guerre est également un élément important de la construction sociale des genres depuis l’Antiquité. Organisé dans le cadre des activités du Groupe de recherche en histoire de la guerre, ce colloque a donc pour ambition d’interroger les relations qu’entretiennent les femmes et la guerre et la manière dont les «féminités» s’y construisent.

L’histoire militaire des femmes s’est en effet longtemps réduite à celle des grandes figures féminines occidentales et des cheffes de guerre, de Boudicca à Jeanne d’Arc. Lorsqu’elles apparaissaient, les femmes étaient réduites aux violences qui leur avaient été faites, ou à leur expérience à l’arrière du front en tant qu’infirmières, ouvrières, ou messagères. Lorsqu’il était question de genre, cela était surtout la construction des identités masculines dans la guerre qui était interrogée. Il a fallu attendre l’ouverture du recrutement aux femmes dans l’armée au XXe siècle pour que les travaux commencent à s’intéresser à leur participation à l’institution militaire, ou aux combats (Thomas, 1978; Bard, 1995). Plus récemment, des études ont mis l’accent sur leur expérience de combattantes, sur la place des femmes dans les structures et les institutions militaires, ainsi que sur les interactions des forces armées avec les sociétés, pour accéder à l’expérience des femmes dans la guerre (Lynn, 2008;Virgili 2011;Clio, 2006).

À la croisée de l’histoire du fait militaire, de l’histoire des femmes et de l’histoire du genre, ce colloque souhaite aborder les multiples formes de la présence des femmes au sein des armées, de leurs expériences de guerre et de la construction des «féminités» en milieu guerrier. Il souhaite aborder ces thématiques dans la longue durée, de l’Antiquité à nos jours, et en dépassant les frontières de l’Europe pour embrasser ces questions de manières globales et transnationales. Car les relations des femmes à l’armée et la construction sociale des genres en son sein, comme leurs formes, leurs manifestations et leurs sens, diffèrent selon les époques, les lieux et les conflits. Les relations, les rôles et les identités sexuelles sont ainsi déterminés et réinterprétés au prisme des normes martiales, sociales et culturelles dans lesquels ils s’insèrent. Ce colloque propose donc de poursuivre les réflexions initiées par les historiens et historiennes de la guerre et du fait militaire et de participer au renouvellement de leurs questionnements. Quelles relations les femmes entretiennent-elles à l’armée? Quels y sont leurs rôles? Comment penser et représenter les «féminités» guerrières? Quelle place prennent-elles dans l’imaginaire du combattant? En quoi les représentations militaires, sociales et culturelles influencent-elles l’expérience des femmes dans l’institution militaire et dans les combats?

Au carrefour de ces réflexions, les propositions de recherche pourront se décliner à partir de quelques grandes lignes directrices:

-Penser le rapport entre les femmes et les institutions militaires dans différents contextes chronologiques, politiques et culturels;

-Explorer l’expression, la construction et l’évolution des «féminités» dans le contexte guerrier;

-Examiner l’expérience de guerre des femmes qu’elles soient combattantes ou non.

Le colloque, organisé avec le soutien notamment du département d’histoire de l’UQAM, du Centre Interuniversitaire de Recherche sur la première Modernité (CIREM 16-18) et du Groupe de recherche en histoire des sociabilités (GRHS), se veut interdisciplinaire et ouvert à tous les jeunes chercheuses et chercheurs des cycles supérieurs (maîtrise, doctorat et post-doctorat) en histoire, histoire de l’art, études littéraires et philosophie, ainsi que de tous les autres champs des sciences humaines et sociales. Il accueillera toutes propositions en lien avec l’étude des femmes en situation de guerre, de l’Antiquité à nos jours. Les thématiques soulevées ci-dessus ne limitent en rien les propositions de communication.

Les propositions de communication peuvent être envoyées en français ou en anglais (300 mots maximum) avant le 15 janvier 2020, à l’adresse qui suit: colloque.grhg@gmail.com. Les propositions devront comprendre une brève présentation du corpus étudié (les sources, le cadre de l’enquête et méthodologie) et une courte bibliographie (10titres max).Elles devront également comprendre votre nom, prénom et affiliation institutionnelle, le niveau d’étude (maîtrise, doctorat, post-doctorat), un curriculum vitae et indiquer les éventuels besoins de soutien financier pour le déplacement et l’hébergement ainsi que le coût estimé du voyage. Le colloque aura lieu le 21-22octobre 2020.

Note importante. Dans la mesure du possible, les organisateurs chercheront à assurer le transport et le logement des participants au colloque. Cependant, tous ceux ou celles qui peuvent éventuellement assurer leur propre financement grâce au soutien de leur université ou de leur centre de recherche, sont invités à le faire savoir au moment de l’envoi du dépôt de leur proposition. L’existence du financement externe (même non assuré) est, en effet, un important prérequis pour la demande de subvention générale qui sera déposée pour l’organisation du colloque.

Comité scientifique: Violaine Sebillotte Cuchet (Paris 1 Panthéon-Sorbonne), Lyse Roy (UQÀM), Carl Bourchard (Université de Montréal), Ersy Contogouris (Université de Montréal), Piroska Nagy (UQÀM), Frédéric Charbonneau (Université McGill), Benjamin Deruelle (UQÀM)

Comité organisateur: Nicolas Handfield, Philipp Portelance, Vicky Laprade, Philippe Sainte-Marie, Chloe Raymond-Poitras, Mathilde Viberti, Alexandre Vaillancourt

 

Bourses Doctorales de la Fondation Pierre Elliott Trudeau :

Les Etudes Supérieures et Postdoctorales (ESP) annoncent le concours 2020 de Bourses Doctorales de la Fondation Pierre Elliott Trudeau d’un montant de 40 000$ par année pour une période maximale de 3 ans ainsi que de 20 000$ d’indemnité annuelle couvrant les frais de recherche et de déplacement.

Le concours concerne les candidats au doctorat qui poursuivent des recherches touchant un ou plusieurs des quatre thèmes de la Fondation : les droits de la personne et la dignité humaine, la citoyenneté responsable, le Canada et le monde, et les populations et leur environnement naturel.

Votre dossier doit être recommandé au préalable par votre unité académique qui a la responsabilité de fixer sa date interne pour la réception et l’étude de votre candidature.

Remplissez votre demande en ligne sur le site TRUDEAU dans un premier temps SANS LA SOUMETTRE (attendre la sélection de la ESP). Ensuite, veuillez remettre votre dossier complet en 1 seul format PDF par courriel à lyne.malboeuf@umontreal.ca au plus tard le DATE LIMITE INTERNE du 09 décembre, vous trouverez la liste des documents à fournir dans le lien de présélection FOURNI dans l’annonce plus bas soit :(Le formulaire, 3 lettres de recommandations, 1 relevés de notes officiels de toutes vos études universitaires…). Le département vous fera par de la sélection interne et finalement les ESP vous ferons part de leur sélection; SEULEMENT à ce moment vous pourrez cliquer soumettre en ligne sur le site TRUDEAU de votre demande pré-remplie avant la date limite. Les résultats seront divulgués vers la fin janvier par la ESP. (Veuillez demander parallèlement à vos répondant, s’ils peuvent vous remettre une copie de la lettre de référence fourni obligatoirement sur le site TRUDEAU au préalable ou si malaise d’envoyer une copie de ladite lettre par courriel pour la sélection interne ou départementale.

Document à l’intention des candidats et des unités : https://fesp.umontreal.ca/fileadmin/esp/documents/Soutien_financier/Trudeau20_pres.pdf

Pour plus d’informations : regis.harvey@umontreal.ca

 

Bourses Trottier 2020 :

Le concours des Bourses Trottier 2020 est maintenant lancé.

Ce concours est ouvert aux étudiantes et étudiants des trois campus (Université de Montréal, HEC Montréal et Polytechnique Montréal) dont le domaine de recherche est jugé compatible avec la mission de l’Institut de l’énergie Trottier (IET), à savoir le développement de solutions durables permettant d’assurer l’avenir énergétique de notre société.

Les étudiantes et étudiants qui rencontrent les conditions d’admissibilité et qui sont inscrits à programme d’étude aux cycles supérieurs depuis au plus deux sessions (première inscription automne 2019 au plus tôt) ou qui débuteront à l’été 2020, l’automne 2020 ou l’hiver 2021 sont invités à soumettre leur candidature, au plus tard le 13 janvier 2019.

Pour obtenir l’aide financière, l’étudiante ou l’étudiant devra présenter un engagement du directeur de recherche de bonifier la bourse d’un montant d’au moins 5 000 $ par année.

Annuellement, le programme peut décerner quatre bourses. Ce nombre pourrait varier selon le nombre et la qualité des dossiers soumis.

Détails du concours : http://iet.polymtl.ca/formation/bourses-trottier-concours/

Pour plus d’informations : iet@polymtl.ca

 

Bourse de la Technische Unversität München :

La TUM (Allemagne) propose une bourse qui donne l’opportunité à des étudiants à la maîtrise de prendre part à un projet de recherche à Munich pendant la session d’été 2020, projet qui sera dirigé en anglais. C’est un programme d’excellence qui couvre la plupart des domaines d’études. Les étudiants sélectionnés se grefferont à un programme de recherche déjà existant et proposé par la TUM afin d’acquérir de l’expérience. Il n’est pas nécessaire que le projet rapporte des crédits (le séjour peut donc être pour de l’enrichissement), quoiqu’une nouveauté cette année est d’en donner si l’étudiant le nécessite.

Une exemption des frais de programme, une bourse de 1000 euros et un logement compris sont au rendez-vous!

Vous trouverez des documents informatifs ci-joints et voici le lien qui mène vers leur site. N’hésitez pas à vous référer vers la Maison Internationale.